Charles PIDJOT à droite lors de la levée des deux drapeaux à la Province Sud - 2011- Crédit photo - Isabelle Olhen |
Le Mouvement d’Union Calédonienne a l’immense douleur de faire part du
décès brutal de son Président Charles PIDJOT, survenu ce matin au
Vanuatu.
Baigné, dès son enfance, dans la politique prônée par l’Union Calédonienne, Charly a grandi dans l’ombre des plus grands leaders de notre Mouvement, Roch PIDJOT, son oncle, Maurice Lenormand, Pierre Declerc, Jean-Marie TJIBAOU, François BURCK, Eloi MACHORO, Yeiwene YEIWENE, de son père Philémon et de son frère Raphaël.
Il a favorisé bien des contacts avec tous ces vieux qui ont fait l’Union Calédonienne auprès de qui il tirait les enseignements le préparant à ces propres responsabilités. Son engagement politique l’a conduit à occuper, dès l’âge de vingt ans, la présidence du Comité Local UC du Mont dore.
Cet engagement l’a également amené à se mettre au service des travailleurs au sein de l’USOENC à la SLN.
Toute sa vie, il n’aura eu de cesse d’assumer les charges de son engagement pour l’accession à la pleine Souveraineté de notre Pays.
Signataire des Accords de Matignon-Oudinot.
Signataire de l’Accord de Nouméa, il n’a eu de cesse, de le soutenir et de veiller à sa mise en œuvre pleine et entière.
Charly était doté d’une vision claire du Devenir de notre Pays et il ne craignait pas de transgresser les tabous pour atteindre les objectifs politiques de l’Union Calédonienne.
Sa détermination comme son franc-parler, s’ils ont pu déranger certains, étaient, pour le mouvement indépendantiste une force qui nous poussait à aller de l’avant.
« La lutte ne doit pas cesser, faute de combattant », par ces mots d’Eloi, Charly nous exhortait et nous encourageait, à ne plus déléguer nos propres responsabilités.
Pour tous, Kanak et Calédoniens de toutes origines, Charly reste cet Homme sensible, humble, accessible, toujours prêt à trouver des solutions aux problèmes de chacun, Petits et Grands, soucieux qu’il était d’améliorer leurs quotidiens autant que de leur permettre l’accès à un avenir meilleur.
A son épouse Yvonne, à ses enfants Ismaël et Raphaël, à Grand-mère, à toute sa famille et son clan, le Mouvement d’Union Calédonienne exprime sa profonde tristesse, son soutien et ses remerciements pour la fierté qu’ont eu tous les militants de l’Union Calédonienne d’avoir eu comme président un homme de caractère et de convictions.
Baigné, dès son enfance, dans la politique prônée par l’Union Calédonienne, Charly a grandi dans l’ombre des plus grands leaders de notre Mouvement, Roch PIDJOT, son oncle, Maurice Lenormand, Pierre Declerc, Jean-Marie TJIBAOU, François BURCK, Eloi MACHORO, Yeiwene YEIWENE, de son père Philémon et de son frère Raphaël.
Il a favorisé bien des contacts avec tous ces vieux qui ont fait l’Union Calédonienne auprès de qui il tirait les enseignements le préparant à ces propres responsabilités. Son engagement politique l’a conduit à occuper, dès l’âge de vingt ans, la présidence du Comité Local UC du Mont dore.
Cet engagement l’a également amené à se mettre au service des travailleurs au sein de l’USOENC à la SLN.
Toute sa vie, il n’aura eu de cesse d’assumer les charges de son engagement pour l’accession à la pleine Souveraineté de notre Pays.
Signataire des Accords de Matignon-Oudinot.
Signataire de l’Accord de Nouméa, il n’a eu de cesse, de le soutenir et de veiller à sa mise en œuvre pleine et entière.
Charly était doté d’une vision claire du Devenir de notre Pays et il ne craignait pas de transgresser les tabous pour atteindre les objectifs politiques de l’Union Calédonienne.
Sa détermination comme son franc-parler, s’ils ont pu déranger certains, étaient, pour le mouvement indépendantiste une force qui nous poussait à aller de l’avant.
« La lutte ne doit pas cesser, faute de combattant », par ces mots d’Eloi, Charly nous exhortait et nous encourageait, à ne plus déléguer nos propres responsabilités.
Pour tous, Kanak et Calédoniens de toutes origines, Charly reste cet Homme sensible, humble, accessible, toujours prêt à trouver des solutions aux problèmes de chacun, Petits et Grands, soucieux qu’il était d’améliorer leurs quotidiens autant que de leur permettre l’accès à un avenir meilleur.
A son épouse Yvonne, à ses enfants Ismaël et Raphaël, à Grand-mère, à toute sa famille et son clan, le Mouvement d’Union Calédonienne exprime sa profonde tristesse, son soutien et ses remerciements pour la fierté qu’ont eu tous les militants de l’Union Calédonienne d’avoir eu comme président un homme de caractère et de convictions.
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